The Day Will Come When You Won't Be nom : (au choix). prénom : (thomas) nom de ton grand-père paternel, nom dont tu as hérité à la naissance. âge : (trente-trois années) peut-être un peu plus, peut-être un peu moins, tu n'aimes pas donner ces chiffres, ils te font peur, ils te terrorisent. date et lieu de naissance : (st.jean de luz, date au choix) tes narines, quand t'étais gamin, étaient toujours noyées dans un air iodé. nationalité : (française) t'aurais aimé mourir sur le sol français, mais ton cœur en a décidé autrement. l'amour que tu portes pour cette blonde te mène à la mort. origines : (aux choix). situation civile : (officiellement célibataire) mais c'est bien plus compliqué que ça. ça fait fait bien longtemps que ton cœur bat pour jeanne, que ton corps lui est destiné.  ancien métier : (agent immobilier) avant, tu passais ton temps à proposer des maisons à des clients exigeants, les plus énervants te rendaient fou. ancien lieu d'habitation : (st.jean de luz) t'as voulu changer d'air, alors t'as quitté lyon pour la côte, pour revenir vers tes origines, là où tu vivais quand t'étais gamin. campement actuel : (à l'extérieur) t'es pas à lafayette. depuis ton arrivée aux états-unis, dès que t'en as entendu parler, t'as senti que c'était pas un bon endroit. alors tu restes avec un micro groupe dehors, sans ce confort qu'apporte lafayette. paradoxalement, t'es bien tenté de rejoindre les horsemen. groupe : (rock in the road) la dureté du monde, l'horreur sous tes pieds. crédits : (kerawrites.tumblr, wingsareatplace.tumblr, hepburns).   just survive somehow. (001), ton père était pêcheur tandis que ta mère agente immobilière, ils ont toujours tout fait pour que tu vives confortablement, que tu aies une vie à peu près normale, sans problèmes, même si parfois c'était compliqué. (002), t'avais une petite sœur, de dix années ta cadette. celle-ci n'a pas survécu à la traversée, elle a sauté par dessus bord tandis que vous dormiez. (003), il y eut, à un moment donné, au milieu de l'océan, un corps qui flottait. c'était bien après le suicide de ta sœur. ton père l'a repêché, l'a allongé sur le pont, a attendu que le cadavre se réveille afin que la faucheuse ne vienne le délivrer. (004), maman était sans doute la plus forte d'entre vous et ce n'est pas le suicide qui l'a poussée à mourir, mais l'amour qu'elle portait pour toi. dès votre arrivée sur ce port abandonné, elle a laissé sa vie pour sauver la tienne.

aux premiers abords, votre relation paraissait simple, pas franchement complexe. les gens pensaient que vous n'étiez que deux amis qui surmontaient la différence d'âge sans problèmes, certains pensaient même que vous n'étiez ensembles que par obligation, que t'étais l'un des amis proches du père de jeanne et que celle-ci devait te supporter à chaque fois que tu 't'entretenais' avec son père. mais tout est faux. c'est bien plus compliqué que ça, mais les gens n'ont jamais creusé, cherché plus loin. ils sont toujours restés devant cette vitrine avec leurs idées à eux. ce qui n'est pas plus mal, d'ailleurs, car si votre relation était explicitement exposée, elle ferait scandale.  elle n'avait que quinze petites années quand tu l'as rencontrée ; elle rentrait en seconde dans ce lycée lyonnais et toi t'y étais surveillant, à défaut de ne pas trouver de job dans les alentours. au départ, elle n'étais qu'une élève comme les autres, tu la croisais dans les couloirs sans vraiment y faire attention, tu l'entendais parler sans l'écouter, tu réglais ses absences comme à ton habitude, rien de bien spécial. mais il y a eu cette illumination, quand elle est revenue de sport, un peu barbouillée, et qu'elle attendait que ses parents viennent la chercher à la vie scolaire. tu lui as tapé la discute, étant assez ennuyé, et tu l'as trouvée si intéressante que son départ venu la tristesse et le manque ravageaient ton cœur. tu n'as cessé de la guetter les jours suivants, tu n'as cessé de lui parler dès que tu la croisais, dès qu'elle venait montrer ses retards, ses excuses, dès qu'elle venait voir si un professeur était absent ; tous les prétextes étaient bons pour lui parler, la voir, la toucher. cependant,  les autres surveillants l'ont remarqué et t'ont mis en garde. alors tu t'es un peu effacé, t'as essayé d’atténuer cette envie qui sommeillait en toi. et t'as vu dans ses beaux yeux qu'elle en souffrait, qu'elle avait tout autant envie que toi. tu t'es retenu pendant des semaines, mais tout a fini par exploser, comme d'habitude. tu l'as saisie par le bras, elle s'est laissée guider dans les toilettes, elle s'est laissée embrasser, ça t'as surpris, mais t'étais heureux. tu lui as donné rendez-vous après le lycée, chez toi, elle a immédiatement dis oui tout en mentant à ses parents, tout en leur disant qu'elle irait chez margot, l'une de ses amies. et vous vous êtes aimés, encore et encore, dans ce lit double dont un côté prenait la poussière. au début, c'était trop beau, le monde était trop rose, elle se sentait trop bien dans tes bras, mais tout est parti en vrille, l'une des pionnes a découvert votre histoire et elle l'a murmurée à l'oreille du directeur. deux jours plus tard, tu n'avais plus le droit de poser le pied au lycée. ta mère t'a alors téléphoné et, en entendant tes pleurs, ton désespoir, elle t'a proposé une place dans son agence immobilière. t'as hésité longuement, mais t'as accepté. t'es parti voir jeanne, tu lui as dis au revoir sans lui dire pourquoi tu partais, tu l'as abandonné sans savoir que dans son ventre ton enfant grandissait. mais quand elle l'a appris quelques jours plus tard, l'avortement fut décidé. il n'y avait plus, désormais, aucune trace de toi dans et sur jeanne. deux années se sont écoulées et tu n'as jamais cessé de penser à elle, même si tu tentais de l'oublier dans les bras d'une autre. et puis l'apocalypse est arrivée sur ses grands chevaux et c'est tout naturellement que t'as embarqué avec tes parents sur le bateau de pêche de ton père. vous avez fini par rejoindre l'autre côté, du moins toi t'as réussi. t'as mis du temps à trouver jeanne, trop de temps, tu savais qu'elle était là, quelque part, alors t'as jamais abandonné. puis tu l'as vue, cette nuit-là, passer devant toi. tu pensais que c'était l'une de ces choses, mais non, elle était bien vivante. tu l'as enlacée, surprise, elle a reculé, et vous avez parlé encore et encore jusqu'à ce qu'elle ne dise qu'elle doit partir là-bas. là-bas ? cet endroit qui arrache jeanne de tes bras, cet endroit que tu détestes, que t'essaies de chasser des pensées de la blonde. maintenant, ton objectif, c'est de la ramener avec toi, de retraverser l'océan ou de vivre au rythme des vagues loin de ces conflits qui brûlent tout autour de vous.  

 

bienvenue sur mon scénario, j'espère qu'il va vous plaire j'offre des cookies à celui qui veut bien incarner mon petit thomas.

je ne suis pas très douée pour écrire cette partie du scénario, alors je vais droit au but et je fais assez court. je n'ai pas beaucoup, voir pas du tout, d'exigences à propos du rp, ou encore de la présence. tant que vous montrez que vous êtes un minimum investis ça me va ! pour la longueur des rps, j'aime les rps courts tout comme les rps longs   pour le lien, la base n'est pas négociable, mais il peut être modifié sur quelques détails, il suffit juste d'en parler ensembles