The Day Will Come When You Won't Be nom : gates, l'usurpatrice. parce que, t'es pas née sous ce nom là. tu l'as emprunté à une nana que t'as croisé peu de temps après ta fuite. tu t'appelais watson, avant. nom de ce patriarche que tu as renié. prénom : cassiopée, l'étoile. la constellation. c'est ta mère qui a choisi ton prénom. ta mère qui y tenait. toi, tu préfères qu'on te surnomme cassie. c'est plus court, plus bref. âge : t'as vingt-huit ans mais t'en paraît cinq de moins. date et lieu de naissance : t'es née un premier janvier, à la nouvelle-orléans. . nationalité : américaine à trois cent pour cent. origines : des origines françaises, bien que lointaines. situation civile : t'es en couple. tu admires, tu aimes. t'es folle de lui. t'es folle pour lui. orientation sexuelle : t'es pas du genre à te coller des étiquettes. filles, garçons. tu t'en fiches. du moment que t'es libre d'aimer, toi ça te va. ancien métier : t'as été mannequin pendant quelques années. puis, t'as assisté aux commandes de la compagnie de ton père. et, t'as quitté la nouvelle-orléans pour bâton rouge. à ton arrivée, t'as pas fais grand chose. en réalité, tu préférais vivre sur tes économies. cherchant ici et là une passion à exploiter. t'as trouvé ta voie dans la peinture. ancien lieu d'habitation : tu habitais bâton-rouge. camp actuel : lafayette. groupe : not fade away. crédits : shiya.   just survive somehow. (001), ta mère est partie alors que tu n'avais que six ans. douce enfant. gamine perdue. elle a succombé. elle a baissé les bras. elle a préféré s'envoler. le cancer. les métastases qui prennent possession des organes. elle est morte. t'es devenue orpheline, cassie. élevée par un père qui idéalisait ton futur. t'étais pas sur la même longueur d'onde. tu le détestes. (002), t'as toujours aimé transgresser les règles. te faire remarquer. être négative. contre-dire. c'est ainsi qu'on te connait. à vouloir faire l'inverse de ce qu'on attend de toi. téméraire. rebelle. (003),t'as grandi dans un cocon. dans une bulle. surprotégée. t'avais toujours un garde du corps derrière ton cul. jamais seule. toujours accompagnée. une nourrisse, un gars qui épiait ta vie. tu n'as jamais connu la solitude. et tu détestes ça, cassie. parce que toi, t'as toujours rêvé d'être en oiseau libéré. (004), ton père, il voulait que tu prennes sa relève. fille unique. enfant prodige. t'es intelligente, cassie. t'en as dans la cervelle. mais, tu préfères ne pas le montrer. tu préfères faire croire que tes neurones sont pas connectés. toi, t'aspirais pas à reprendre l'entreprise familiale. c'est pas ta place. c'est pas ta vie.  (005), à seize ans, tu t'es enrôlée dans une bande pas franchement fréquentable. t'as sombré dans la drogue. poudre blanche qui te manque encore aujourd'hui. ta meilleure amie. ton meilleur allié. t'es partie en cure pendant quatre mois. forcée par ton père. et t'as réussi à tenir vingt-quatre heures après ta sortie. toi, tu te sentais mieux avec quelques grammes dans les veines ou dans le nez. t'étais heureuse, comme ça. tu ne te rendais pas compte que tu te détruisais. (006), à dix-huit ans, t'as intégré une école de commerce. pour faire plaisir à ton père. pour qu'il continue à te filer quelques billets. pour que tu puisses continuer à te détruire. mais, t'as trouvé un meilleur plan. une perspective que tu n'avais pas envisagé. t'es devenue mannequin. juste pour le faire enrager. juste pour lever ton majeur et lui montrer que t'avais pas besoin de lui. pourtant, t'es revenue. la queue entre les jambes. t'as jamais réussi à trouver ta voie, cassie. (007), t'as décidé de quitter la nouvelle-orléans à peine ta majorité fêtée. enfin seule. enfin livrer à toi-même. t'as changé de nom. t'as changé d'identité. t'as balayé tes mauvaises habitudes. arrêté la drogue. t'en as profité pour voyager. jusqu'à arriver à bâton-rouge. (008), t'es effrayée par cette situation. par l'épidémie, par les rôdeurs. t'as peur de l'avenir. toi, t'aspirais à une vie normale. t'aspirais à pouvoir te construire. devenir quelqu'un.  (009), t'es une femme forte. t'es une femme qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. t'as un sale caractère. tu l'assumes. t'es du genre lunatique. t'es du genre à hurler ton désaccord. à faire voler des assiettes. t'es têtue. t'es déterminée. t'as honte de rien, cassie.  (010), tu te passionnes pour la photographie. t'aimes capturer l'instant présent. t'aimes surprendre les individus avec tes clichés. tu captures tout et n'importe quoi. la plupart du temps sans demander l'avis de la personne.

âge : vingt-deux ans, vingt-trois dans quelques jours   . fuseau horaire : douce france. fréquence de connexion : sept jour sur sept. où avez vous connu le forum : c'était hier, mais je ne me souviens déjà plus   . une pub FB j'crois    avis & suggestions : j'vous bz   . votre mot de la fin :   .

T'as sûrement l'air d'une tarée, Cassie. T'es là depuis des jours. Des semaines peut-être même. Tu viens tous les jours. A la même heure, à chaque fois. T'es là, présente. Tu le regardes par dessus tes lunettes de soleil. Tu le regardes alors que lui ne te voit pas. T'es là, présente. Tu veux lui parler. Parfois, tu essaies. Tu tentes un petit quelque chose. Mais c'est à peine s'il te voit. C'est à peine s'il te répond. T'as sûrement l'air d'une folle. D'une psychopathe. « Un café, s'il vous plait. » que tu murmures alors qu'il arrive à ta hauteur. T'es qu'une cliente pour lui. Une habituée, maintenant. Alors qu'à tes yeux, il est bien plus. Kayes. Son prénom résonne sans cesse dans ton encéphale. Tu l'as entendu un jour. Alors qu'une collègue à lui lui posait une question. T'as juste entendu son prénom. T'as pas cherché à en savoir plus.  T'as pas besoin de plus. Un coup de foudre ? T'en sais rien. Mais tu sais qu'il te hante, le gars. Tu sais que t'es déjà possédée. Tu ne te reconnais pas, Cassie. Toi qui a enfin réussi à t'envoler. Toi qui a enfin réussi à te libérer de cette emprise qu'il exerçait sur toi, le patriarche. Te voilà déjà au bord du précipice. A espérer comme une gamine qu'il te remarque. T'as l'impression d'être une adolescente. T'as l'impression d'être cette gamine qui cherche à avoir son premier rencard. « Je m'appelle Cassiopée. » que tu souffles alors qu'il revient, ton café sur son plateau. Tu croises son regard, le sang qui monte à tes joues. Tu vois bien, Cassie. Tu ne l'intéresses pas. Parce que, lui, c'est à peine s'il t'adresse un sourire. Pourtant, tu ne te laisses pas abattre. T'es bien trop tenace, Cassie. Bien trop têtue. Sûrement que cette vie de gamine gâtée te collera à la peau toute ta vie. Parce que, quand tu veux quelque chose, tu fais tout pour l'obtenir. Même lui. Alors, tu le suis du regard. Jusqu'à te lever enfin et le rejoindre au comptoir, ta tasse à café à la main. « Tu finis à quelle heure ? » que tu balances. Tu le sais. Tu sais qu'il termine à vingt heures. Parce que t'es assez tarée pour rester jusqu'à la fin de son service, parfois. T'as compris comment ça fonctionnait. « Vingt heures. » qu'il dit enfin. Le son de sa voix te fait frissonner. T'aperçois une lueur d'espoir. Parce que, pour une fois, il t'adresse un regard, un vrai. Parce que, pour une fois, il te répond autre chose qu'une banalité. « ça te dit un verre ? Ou un dîner ? Comme tu veux. » que tu sors en souriant. T'es pas du genre à faire le premier pas, normalement. T'es même plutôt du genre à refuser. C'est eux qui te courent après, les hommes. Toi, t'as pas besoin de te faire prier. Pas habituellement.


« Tu ne comprends pas ! Je ne suis pas celui qu'il te faut, je suis mauvais, je vais te faire souffrir encore et encore ! » Tu suffoques. Tu viens de voir ta vie défiler. T'as cru mourir, Cassie. T'as cru qu'il allait en finir. Tu sais Cassiopée. Tu sais qu'il est torturé, Kayes. Tu l'as vite compris. T'as vite compris qu'il avait besoin d'être sauvé. Et tu veux en être. Tu veux être son oxygène, son soleil. T'as envie d'être sa raison de vivre. Et lui, il a failli te retirer la tienne, de vie. Il a pressé ton cou. Il a saisi ta gorge alors que tu dormais. T'as pas compris, sur le coup. T'as juste déduis. Et tu restes calme, Cassie. La force tranquille. Debout devant lui, tes yeux océans qui le fixent. Tu restes droite. Tu restes forte. Pourtant, des larmes perlent sur tes joues. Silencieuse. Tu sursautes alors qu'un verre vient se briser contre le mur derrière toi. « Comment peux-tu rester avec moi ? » tu oses avancer d'un pas. Doucement. Tes mains qui viennent se plaquer de part et d'autre de son visage. Ton regard qui se plante dans le sien. « Parce que je t'aime. » que tu murmures. T'attends rien à retour Cassie. T'attends pas qu'il prononce ces trois mots. Tu sais, toi. Tu sais que tu risques de ne jamais les entendre, ces mots. Mais, t'en as pas besoin, toi. T'as juste besoin de lui. T'as juste besoin de sa présence, à Kayes. Parce que, t'imagines plus ta vie sans lui. Parce qu'elle serait trop fade, trop amer. Parce que tes rires ne seraient plus les mêmes. Tes larmes non plus. Alors, tu viens déposer un baiser au coin de ses lèvres. Douce enfant, douce gamine. « Depuis le premier jour. Depuis que j'ai franchi le seuil du café. Je t'aime, Kay. Quoi qu'il m'en coûte. Même si je dois souffrir, comme tu dis. Parce que, cette souffrance là, elle n'est rien. Elle n'est rien comparée à une vie sans toi. » T'as l'impression de sortir d'un film complètement naze. Ceux que tu as toujours détesté. Où la gonzesse s'accroche. Où la nana supplie. T'es pas comme ça, normalement. Mais, tu n'arrives pas à faire autrement.


T'as ton sac à dos. Ton seul souvenir de ta vie passée. Kayes derrière toi alors que tu franchis la frontière de Lafayette. « On sera bien ici, » que tu murmures. Ouais, t'en es persuadée, Cassie. Ici, tu seras en sécurité. Ici, Kayes sera en sécurité. Tu pourras reprendre une vie normale, Cassiopée. Tu pourras vivre à nouveau, ne plus avoir peur. Tu souris alors que ta main presse celle de Kay. « Notre nouvelle maison. » que tu souffles. Tu ne lui as pas laissé le choix, à Kayes. Tu lui as demandé de venir avec toi. De ne pas te laisser seule. T'as eu cet espoir lorsque tu as appris qu'un camp existait. T'as eu ce sentiment de renouveau. Peut-être qu'en réalité, le monde ne s'écroule pas. Peut-être qu'il y a encore un espoir. La vie, la mort. T'es pas prête, Cassie. T'es pas prête à accepter de voir la Terre s'écrouler. Toi, t'es du genre à pas comprendre. Tu comprends pas ce qui c'est passé. Pourquoi tout est parti en couilles. Pourquoi tout a changé. Ils sont morts. Tes amis sont devenus tes ennemis. T'as plus confiance en personne. Sauf en Kay.
Ça fait quelques temps que tu es là. Et, t'as encore du mal à accepter.

Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : ta fiche est un véritable plaisir à lire et je shippe tellement cassie / kayes, je veux les voir en rp genre RIGHT NOW sinon je pique une grosse crise et je vous envoie des rôdeurs, oui oui ouiiiii bref, rien de plus à dire, une plume magnifique, un personnage attachant, un couple adorable... j'en veux ++++

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si d