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 (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.

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MessageSujet: (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.   (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream. EmptySam 25 Fév - 19:07

You make me feel like I'm livin' a teenage dream
Otto & Dimitri
S’il y avait une chose sûre, c’était que Dimitri était incapable de survivre en milieu zombie… mais honnêtement, ce n’était même pas dit qu’il puisse survivre dans un monde normal, seul dans un appartement. Jusque-là, il avait toujours vécu avec papa et maman et franchement, c’était la belle vie. Il savait faire une lessive, la vaisselle, des pâtes et… c’était à peu près tout… Ah si, il savait faire le café. Sauf qu’il avait une capacité surhumaine à casser environ cent pour cent des objets qu’il touchait. Bon, c’était une exagération. Mais là où certaines personnes n’avaient jamais aucun souci avec leur matériel, Dimitri lui, avait une poisse qui relevait du surnaturel, à ce point-là. Après tout, les zombies existaient alors les mutants façon x-men, pourquoi pas … Tu parles d’un pouvoir : la capacité de s’attirer des ennuis de toutes les façons possibles et imaginables. Nom de code : Poisseman. Sérieusement, il n’y avait pas moyen de conjurer le mauvais sort ? Un rituel ou un exorcisme ? Et pourtant, il avait toujours entendu que la vie ne souriait pas à ceux qui lui faisaient la gueule… Mais visiblement, la vie avait une dent contre lui parce qu’il n’y avait pas plus optimiste et jovial que Dimitri… donc la vie aurait dû lui sourire en retour… Heureusement qu’il en avait, de l’optimisme, parce que sinon, il se serait déjà pendu ou tenter de se couper les veines avec une petite cuillère (quand on n’est pas doué, on n’est pas doué)

Tout ça pour dire : il avait cassé la machine à café qu’ils avaient à la maison. Sa mère allait le trucider… On ne déconne pas avec le café. Et comme, bien évidemment, il était tout bonne incapable de trouver une solution au fait que la machine refusait de lui faire sa boisson, il était préférable qu’il demande à quelqu’un qui avait plus de talents que lui. C’était surement un truc qui avait pété au niveau des circuits intérieurs vu le bruit que la machine avait fait… Et Dimitri n’était bon qu’à mettre le feu à la maison s’il essayait de la réparer de lui-même. Il mit donc la machine dans un sac après l’avoir vidée et nettoyée puis se rendit chez Otto… pourquoi lui ? Parce que premièrement, il le voyait un peu comme un super héros capable de régler tous les problèmes. Et secondement… comment dire qu’il avait un crush sur un mec qui aurait pu être son père ? Le cœur de Dimitri s’emballait toujours beaucoup trop vite. Il suffisait qu’un homme soit beau, gentil et agréable pour qu’il s’enflamme… Il avait conscience qu’il avait à peu près zéro chance avec lui, mais il n’expliquait pas ce qu’il n’allait pas dans sa tête… De toute façon, si les sentiments étaient si faciles à contrôler… ça se saurait ! Le jeune homme frappa donc à la porte en espérant que l’homme était là. Ouf, c’était le cas. Il lui adressa un petit sourire coupable en le saluant avant d’entrer dans le vif du sujet. « J’ai cassé la cafetière de ma mère je crois… elle va me tuer et je suis incapable de réparer… Est-ce que… tu pourrais regarder si elle est décédée ou si y a encore un espoir pour elle…? S’il te plaît. » Il était presque dramatique dans ses propos… c’était pour l’humour, mais en même temps, il espérait que la machine soit réparable, vraiment.
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MessageSujet: Re: (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.   (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream. EmptyDim 26 Fév - 7:59

You make me feel like I'm livin' a teenage dream
Otto & Dimitri
otto n’était pas allé hors des murs cette fois-ci, bien trop submergé par la fatigue et, aussi, sans doute, par la paresse. une rare paresse, ceci dit, qui n’apparaissait que quand son corps lui semblait extrêmement lourd et  qu’il s’oubliait un peu plus que d’habitude. quand sa tête se reposait sur les nuages, il était difficile de la faire redescendre, ce qui était généralement mauvais signe et perturbait les mouvements ainsi que la vigilance d’otto. celui-ci aurait été incapable de se concentrer là-bas, dehors, et y aller représenterait beaucoup trop de risques, - il n’aurait pas non plus la force qu’il faut, celle-ci ne coulerait qu’en petites gouttes dans ses membres -. otto ne voulait pas mettre sa vie en danger ; il avait tant à découvrir encore, tant à espérer. alors, il était resté un peu plus longtemps sous les draps, mais, même si ses yeux étaient gorgés de fatigue, sa boutique s’était ouverte sur les coups de six heures. il avait été saisi de plein fouet par l’habitude, une bonne vieille amie qu’il croisait toujours quand il décidait de rester à lafayette afin de récupérer un peu.

il avait donc flâné une heure ou deux dans ses draps bleus, dans cette mer dans laquelle il aimait bien se noyer. il regardait le plafond blanc d’un air absent, redescendait sur terre de temps en temps, puis remontait avec son échelle dans ce monde de rêverie qu’il ne visitait que rarement. comme chaque matin, otto pensait à ellie, à emmy aussi,  ses deux filles chéries, sauf que, pour ne pas se faire souffrir ou gâcher la journée, le cinéma qu’il avait à l’intérieur de sa tête ne diffusait que des bons et joyeux souvenirs. des souvenirs qui prenaient la poussière, tout comme lui. il voyait le moment où il avait appris à ellie à rouler avec son vélo sans les petites roues, la naissance de deux des femmes de sa vie, le premier gâteau d’anniversaire mangé, les bougies soufflées, tant de souvenirs divers qui laissaient un large sourire sur ses lèvres.

les pieds d’otto émergèrent des draps vers huit heures, et ils rencontrèrent brusquement le sol froid, ce qui déclencha une avalanche de frissons. otto s’étira ensuite, puis, après avoir pris un déjeuner léger, il s’habilla selon les critères de la météo. sans doute qu’il irait se balader dans les rues, ou alors parler avec scar, son meilleur ami depuis des années maintenant, mais il ne savait pas encore le programme de sa journée. il restait donc pour l’instant dans cette maison qui ne lui appartenait pas, se baladait dans les pièces jusqu’à ce qu’il soit interrompu par la porte d’entrée. il alla l’ouvrir et dès qu’il tomba nez à nez avec dimitri, un sourire vint dessiner ses lèvres. « bonjour dimitri. » lui dit-il d’une voix rauque, mais étrangement chaleureuse. il s’aperçut que le gamin tenait dans ses mains une imposante masse noire : une cafetière. otto fut, tout d’abord, intrigué, que venait-il faire ici avec ça ? mais ce n’est qu’en écoutant le pourquoi du comment qu’il se rendit compte qu’il allait devoir se la jouer bob le bricoleur aujourd'hui. « tu sais, j’ai pas l’habitude de réparer des choses, je ne suis pas vraiment né pour bricoler, ou encore jardiner, mais ça s’est encore autre chose. » la main d’otto caressa brusquement sa nuque,  puis entreprit de faire un périple dans ses cheveux emmêlés. « mais je vais voir ce que je peux faire, ça ne doit pas être si compliqué que ça, je me suis bien plongé dans la médecine donc ... bref, viens, entres. » il sortit du chemin afin de laisser le garçon entrer, puis il referma la porte. « pose-là sur la table, je vais lui faire une autopsie. » il s'assit sur l’une des chaises et vit la masse noire s’abattre devant lui. bon, pensa-t-il, let’s go.
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MessageSujet: Re: (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.   (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream. EmptyMar 28 Fév - 13:25

You make me feel like I'm livin' a teenage dream
Otto & Dimitri
C’était bizarre de venir chez Emma pour voir quelqu’un d’autre qu’elle. En fait, c’était bizarre la situation actuelle. Tout le monde vivait d’une façon … préhistorique. Il avait appris ça en cours. Avant, les foyers accueillaient parfois plusieurs familles. Au final, l’apocalypse, c’était un peu comme revenir aux temps sombres de l’humanité… à une époque ou le modèle social n’était plus du tout le même. Et malgré le semblant de cohésion qu’il restait à Lafayette, il ne fallait pas se méprendre, qui savait combien de temps ça pouvait durer ? Dimitri ne pensait pas à ça. Il se contentait de vivre au jour le jour, de rester joyeux. De nier la disparition de son père. Enfin, il ne pouvait pas le nier, c’était un fait. En vrai, c’était la potentielle mort de celui-ci qu’il niait. Il avait perdu trop de proches pour supporter la mort de quelqu’un d’encore plus proche. Il fallait bien le reconnaître, Dimitri était fragile, il n’avait rien d’un battant et encore moins d’un survivant. Sans les murs qui protégeaient la ville, il serait mort. Ce n’était pas l’idée qu’on se faisait d’un garçon, c’était censé être viril, fort, protecteur, badass, mais non, sa mère était plus virile que lui. Heureusement, ce n’était quand même pas le cas physiquement. Il faisait du sport et était quand même bien foutu. Mais, ce n’était pas un sport « viril » la danse. Enfin bref. Il fut ravi qu’Otto accepte d’autopsier la bête. Qu’il soit doué ou pas, ça ne pouvait pas être pire que les capacités de l’homme. Et puis honnêtement… il y avait presque un part de prétexte derrière tout ça… la honte. Une chance qu’il soit impossible de lire les pensées.

Quoi qu’il en soit, il posa donc la cafetière et s’assit en face d’Otto. « Je suis sûr que tu ne risques pas de mettre le feu toi au moins… moi je suis pas connu pour être hyper doué avec les objets. » Il plaisantait, mais c’était un fait. Bon, il n’en était peut-être pas au point d’avoir une réputation qui lui collait à la peau, mais ce n’était pas loin. « Et puis, au pire si elle est vraiment grillée de chez grillée, je dirais à ma mère qu’elle aura eu le droit à une autopsie en bonne et due forme… et que maintenant, elle peut prendre une retraite bien méritée… Ou être recyclée en autre chose, si c’est possible. » Il était un peu plus pensif sur la fin de sa phrase. Franchement, il n’y connaissant pas grand-chose en électronique ou en pièces détachées. Il avait parfois l’impression de ne rien connaître… mais disons que ses connaissances n’étaient pas utiles pour ce monde-là… S’il avait été plus vieux et plus loin dans ses études, il aurait pu être prof, mais là, c’était mort. « Alors tu voyais vraiment de vrais cadavres avant ? C’était pas trop … malaisant ? Enfin… j’imagine c’est pas un métier qu’on fait par dépit. » Il s’était repris en se frottant la tête. C’était con comme question… Mais Dimitri faisait partie de ces gens à n’avoir jamais vu un cadavre de sa vie… et les rares zombies qu’il avait vus étaient encore « frais ».
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MessageSujet: Re: (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.   (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream. EmptyMar 28 Fév - 22:57

You make me feel like I'm livin' a teenage dream
Otto & Dimitri
otto n'avait que de piètres connaissances en bricolage, pourtant, il sut immédiatement que le problème était interne et non externe car il n'y avait, sur la surface noire, aucune fissure, aucun éclat qui justifierait une quelconque chute. vu de l'extérieur, la cafetière semblait neuve, sans aucun défaut, et propre. si otto voulait l'examiner plus en profondeur, à défaut de ne pas avoir de tournevis, il allait devoir l'ouvrir à la force des mains et, honnêtement, il n'avait aucun envie de foutre le bordel chez son hôte. il n'avait pas non plus envie de ramasser les petites pièces qui se seraient dispersées sur le sol. il essayait alors de trouver une solution tandis que ses doigts continuaient d'embrasser chaque recoin de la cafetière. à ce moment-là, il se maudissait de ne pas être un bricoleur dans l'âme et, pour la énième fois, se disait qu'il aurait dû accepter l'offre de son oncle ce jour-là,  qu'il aurait dû le regarder triturer le vieux radio-cassette qui s'était cassé la figure du comptoir. les mots de ce vieil homme à la longue barbe blanche, semblable à celle de dumbledore ou du père fouras, se mirent à résonner dans sa tête. tu le regretteras, lui avait-il dit durant l'année de ses quinze ans, un tournevis coincé entre ses lèvres consumées par ces années acerbes. le vieux avait vu juste, otto s'en mordait les doigts aujourd'hui. il l'aurait bien déterrer pour lui demander quelques tuyaux, mais il n'aurait pu parler qu'à un tas d'os. une idée traversa alors son esprit et vint s'écraser dans un bruit mat sur sa langue, il était prêt à la murmure aux oreilles du gamin. otto releva la tête du monstre et son regard dériva vers dimitri. ses yeux rencontrèrent les siens et, en l'espace de quelques secondes, un sourire aux allures paternelles vint habiller ses lèvres. " je ne sais pas si elle est grillée de chez grillée comme tu le dis, mais en tout cas elle est mal en point. " sa voix était beaucoup trop rauque, il sentait le désert au fond de sa gorge, il avait besoin de boire, mais il ne bougea pas de sa chaise par politesse et par paresse aussi. " mais ne te fais pas de soucis pour ta mère, j'irai la voir personnellement pour tout lui expliquer. je lui dirais que ce n'est en aucun cas de ta faute et que tu as tout fait pour réparer cette bonne vieille machine. je suppose qu'elle doit être là depuis pas mal de temps déjà, donc elle mérite bien de longues vacances sous les cocotiers des îles caraïbes, même si on est malheureusement pas dans les îles caraïbes ici et que les seuls cocotiers qu'il y a sont encadrés au dessus de mon lit. " un rire bref s'échappa de sa bouche, puis il reprit. " quand j'irai à l'extérieur, j'en rapporterai une autre. " le vent sec du désert remontait dans sa gorge et rendait ses lèvres si sèches qu'il dut passer sa langue sur celles-ci afin de les hydrater un minimum. il rajouta : " oui, j'en voyais des vrais. " de tous les âges et de tous les horizons même, avait-il envie de dire.

" et pour répondre à ta question, non, ça ne l'était pas. " et c'était vrai, otto s'était toujours senti à l'aise au milieu de ces morts, au milieu de ces corps froids dénués de toutes formes de vie. ce qu'il aimait dans ce job, c'était la solitude qu'il créait. cette solitude lui permettait d'oublier les tracas de la vie quotidien et là, au moins, il n'entendait pas les crises d'angoisse que sa femme faisait.  " il faut dire que quand tu es passionné par quelque chose ou par ce que tu fais, ta vision des choses change totalement. par exemple, si tu es passionné par les animaux, les rats deviendront de gentils petits rongeurs alors que la plupart des gens trouvent ça dégoûtant. moi le premier. avec les corps, c'est pareil. personnellement je trouvais ça tout à fait normal de passer mes journées en tête à tête avec des cadavres dont la peau virait aux couleurs de l'arc-en-ciel. je t'avoue qu'au départ j'ai eu beaucoup de mal, que mon premier jour est assez mémorable et que mon temps d'adaptation a été assez long mais j'ai fini par m'habituer et après ça roulait tout seul. " ses paroles transpiraient la vérité pure. il se souvenait encore de son premier jour de travail ; il avait vomi sur ses nouvelles chaussures avant de se taper la tête contre une table en fer en s'évanouissant. il s'était réveillé quelques minutes plus tard, allongé sur le sol, à contre-plongée du corps de cette jeune femme blonde qui s'était faite tirée dessus.
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MessageSujet: Re: (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream.   (Otto) you make me feel like i'm livin' a teenage dream. EmptyMer 8 Mar - 17:40

You make me feel like I'm livin' a teenage dream
Otto & Dimitri
Pauvre machine à café. La vie ne l’avait pas épargnée… Enfin c’était sans doute mieux de s’éteindre de vieillesse ou d’un court-circuit que de se faire déchiqueter par les zombies. Dimitri était plutôt sensible comme garçon et imaginer les souffrances qu’on devait endurer dans ces cas-là, c’était souvent sujet à faire des insomnies pour lui. Non, il n’était pas fait pour sortir des murs de la ville et tant qu’il se tenait à carreau, on n’avait pas de raison de se débarrasser de lui. Par contre, si un jour la ville décidait de se séparer des plus faibles, de les mettre à la porte une bonne fois pour toutes. Il serait dans la merde. Mais il comptait encore sur l’humanité des gens pour ce n’arrive pas. Il rit à la remarque sur les Caraïbes… il n’avait jamais eu l’occasion de partir en voyage là-bas…pourtant ça lui aurait plu. Il avait aimé voyager avec ses amis, avec sa cousine et aurait très bien pu voyager tout seul… mais malheureusement, c’était compromis. « T’es pas obligé hein… mais merci. Vas pas prendre de risques pour une machine à café par contre… on perd assez de gens comme ça… » Qu’il répondit assez tristement à la proposition d’Otto de trouver une autre cafetière. Il n’avait pas envie que l’homme disparaisse à son tour. Son père ne revenait pas, cela faisait un mois qu’il était dehors et même si sa mère était convaincue qu’il était mort, Dimitri n’arrivait pas à s’en convaincre. Il ne voulait plus perdre ses proches, les gens qu’il appréciait. Son père était en vie, il devait l’être, il devrait rentrer… ce n’était pas négociable dans la tête du métis.

Dimitri écoutait les paroles de son aîné avec attention. Il était comme ça, toujours à l’écoute des gens, à vouloir savoir leur vécu, leur ressenti… et dans le cas d’Otto, c’était particulier. Il avait ce stupide crush sur lui… Ce type avait genre trente ans de plus que lui. On lui aurait dit de se trouver quelqu’un de son âge sur lequel fantasmer, ce serait légitime. Ouais mais bon, une figure masculine et forte, que demander de plus hein ? On aurait aussi pu lui dire de cibler des gays ou des bi du moins… Mais la population ayant été diminuée de moitié, il n’en restait plus beaucoup des gays… enfin bref. Du point de vue de Dim' les cadavres, ça n’avait rien de très glamour… Mais bon, en tant qu’étudiant en histoire il avait entendu parler de la peste de noirs, des médecines de l’époque et tout ça… mais entre en parler et le vivre ce n’était pas pareil. « Les cadavres restaient morts au moins… maintenant quand nos proches meurent, il faut les retuer… » Il soupira avant de reprendre un peu plus guilleret. « Tu travaillais avec la police ? Genre pour trouver les coupables grâces aux traces laissé par des tueurs ? Dans les émissions à la télé ils disaient tout le temps que sans médecine légale on ne trouverait pas les tueurs. Ça doit tellement être réconfortant de savoir qu’on a aidé la justice. » Il essayait sincèrement de trouver des choses positives à dire. Quitte à passer parfois pour un idiot ou un type naïf. C’était sa façon d’essayer de remonter le moral des troupes… même si à lui tout seul, il ne pouvait pas faire grand-chose.
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