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 boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)

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MessageSujet: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyVen 24 Fév - 20:58

Leopold Thomas Benoist
Le matin est en cendre et demain est en miette
nous jouons dans nos ruines
The Day Will Come When You Won't Be
nom : Dynastie de colons ayant pris la mer avant de s’échouer aux bordures de cet autre continent plus de vingt ans auparavant, il est le dépositaire d’un nom bien trop grand pour ses épaules trop frêles. Benoist par héritage d’un vieux continent dont il ne sait rien, il est le bon dernier d’une famille aux allures d’empire qui le dépasse. Toutefois, c’est grâce à la mansuétude de son oncle et de ses cousins que son père et lui trouvèrent refuge à leurs côtés.  prénom : Douceur. Voilà comment ses parents auraient dûs le prénommer à sa naissance. Bambin aux yeux d’ailleurs, aux yeux déjà trop grands, ses parents lui donnèrent un nom de roi. Un nom de là-bas, de l’autre côté de l’océan. Leopold, le monarque d’un royaume qui ne sera jamais sien. Le souvenir gravé dans sa carne d’une mère qui n’a pas été là, qui ne le sera jamais. Ses proches ont pris l’habitude de l’appeler Leo, petit prince grimé d’un royaume à la voie lactée tatouée sous ses paupières. Il n’y a que son père pour l’appeler par son nom complet, le grondement d’un tonnerre dans la voix et la déception dégoulinant de ses prunelles « Leopold Thomas Benoist ! » Clairon sonnant la reddition d’une armée terrassée d’avance, le gamin se tord et se crispe face à ce nom qu’il ne reconnait pas sien. âge : 22 années d’errances à chercher cette vérité divine censée lui faire comprendre qui il était, ce qu’il devait, ce à quoi il lui fallait aspirer. Le ciel lui est tombé sur la tête, la voute céleste a cédé et au feu d’une apocalypse déshumanisée il reste toujours aussi paumé.  date et lieu de naissance : Né le 14 janvier 1995, c’est l’intérieur d'un hôpital universitaire de Paris, en France, qui le vit pousser ses premières cris. nationalité : Expatrié depuis ses plus jeunes jours, même si Leo n’a jamais connu que l’Amérique, ce dernier porte pourtant bien la nationalité française. Garçon accroché à des possibles n’ayant pas lieu d’être espéré, c’est une mère de l’autre côté de l’océan qu’il abandonnera le jour où il reniera cette partie de lui.  origines : Bambin tout droit arrivé de France, ce pays natal dont il ne se souvient même pas l’allure est la seule donnée de l’équation de ses origines à laquelle il porte la moindre attention.  situation civile : Célibataire, d’aussi loin qu’il s’en souvienne. Contrairement aux films, dans la réalité les geek et autres rats de bibliothèques n’ont pas autant la cote avec les filles qu’on ne veut bien le dire.  orientation sexuelle : Hétérosexuel, incapable de s’imaginer autrement, le gamin n’a pourtant jamais connu quoique ce soit d’autre. Très peu expérimenté face aux affres de l’amour et de ses concubines plus passionnées, Leo ne s’est jamais intéressé aux lignes brisées des corps musculeux d’autres éphèbes. Pourtant, il s’est déjà laissé fait emporter par les lèvres d’un garçon de son équipe, incapable de repousser les assauts  brûlant d’un cœur en mal d’être. Lui, homosexuel ? Pas vraiment. Trop naïf que pour peser la lourdeur de ses sentiments, d’autres plus loquaces auraient déjà roulé cent fois le mot dans leur bouche. Bisexuel peu assumé, mais dans le fond qu’est-ce que ça change ? ancien métier : Ancien étudiant en ingénierie mécanique de l’université de Lafayette, la seule raison pour laquelle il arriva à s’offrir ses études est grâce à son entrée dans l’équipe de basket-ball. Cette place lui offrant un ticket tout frais payé vers un diplôme. Il n’empêche que le Benoist était plus connu pour sécher les cours et passer son temps à fumer des joints dans les dortoirs de ses potes que de se montrer aux cours. ancien lieu d'habitation : Allant de déconfitures en déconfitures, son père et lui furent obligés de vendre la petite bicoque familiale. A peine quatre murs capables de repousser les assauts incessants d’une météo incertaine. Juste de quoi avoir un toit sur la tête pour conserver leurs éclats de rire. Ils n’avaient pas grand-chose, mais ils avaient l’autre et, ingénument, c’était suffisant pour Leo. Suffisant pour qu’il se tue à obtenir sa bourse, s’échine de boulots en boulots pour aider à payer les factures. Pourtant, rien n’y fit. Obligés de ravaler leur fierté, père et fils allèrent mendier dans les beaux quartiers. Devenus habitant du quartier ouest de Lafayette, même s’il y vivait, Leo n’y trouva jamais vraiment sa place.  camp actuel : Déchiré par la crainte de l'extérieur et l'horreur de l'intérieur, Leo est prisonnier de sa propre immobilité. Résident de Lafayette, quelque chose en lui frémit à la douce idée de s'échapper.. groupe : Not Fade Away. crédits : babine (avatar); paintedemons.tumblr (images).  

just survive somehow.

(001), A moitié un rêve, à moitié un rêveur, Leo n’a jamais réellement su comment naviguer les eaux troubles de sa destinée. Enfant d’une absence, fils d’un homme aux épaules trop carrées, trop imposantes que pour ne pas être un Atlas  oublié, il est la doléance d’un univers essoufflé. Gamin au regard triste, aux prunelles trop grandes pour le poids qu’elles ont à porter, le Benoist s’est pris à rêver. Rêver encore et encore au point d’en oublier la vérité qui dépassait par tous les bords.  (002), Enfance souffrance, ses premiers émois le gamin les vécus seul. Orphelin par la force des choses, c’est le souvenir recomposé d’une mère imaginée qui berça les tendres années de Leo. Un père pris par le vent, le temps et cette course à l’argent qu’il ne comprenait pas, c’est au détour de ses bouquins qu’il trouva une présence. Fier héritier d’un royaume de papier, il se perdit longuement le long des lignes usées des romans empruntés à la bibliothèque de la ville. Enfant toujours le nez dans ses livres, il passait son temps entre les cours à dévorer les pages de ces histoires qu’il rêvait de vivre. (003), Même si les finances étaient rudes, les Benoist ne manquaient jamais de rien. Hommes fier d’une famille ne tenant qu’à la force de leur bras, ils se débattaient de tous les côtés. Forcé dès son plus jeunes à travailler dans le quartier, les voisins du duo avaient l’habitude de profiter des services de Leo contre quelques billets. En grandissant, ce dernier pris l’habitude de donner des cours de français à ses camarades, chercher toutes les annonces potables sur craiglist afin de boucler la fin du mois. De jardinier autoproclamé, à model pour nu, en passant par serveur déguisé en poney le temps d’une soirée, le brun accomplit un nombre incalculable d’emplois étranges dans l’espoir de protéger l’harmonie de son foyer. Malheureusement, lui et son père furent incapable de repousser l’inéluctable. Le prix de la vie augmentant, Leo étudiant à l’université et ramenant moins d’argent, ils furent forcés de mendier un peu de pitié auprès de cette famille leur étant tant dissimilaire. (004), Bosseur acharné, sécheur de classe professionnel, geek assumé, star de basket-ball contre son gré, Leo a toujours été de nombreuses choses. Entre une moyenne faisant pâlir ses camarades à la sortie du lycée et des statistiques irréprochables en tant qu’ailier dans l’équipe du lycée, c’est à la sueur de son front que l’adolescent arracha son diplôme et une bourse pour l’université. En regardant en arrière, Leo se demande bien à quoi bon tous ces efforts pour en arriver là où il en est aujourd’hui. Une apocalypse sur les bras et l’amertume d’une liberté spolié entre les doigts. (005), Eternel marginal dans son école, malgré une place dans l’équipe phare du lycée, Leo ne reçut pas de sobriquet affectueux dans le livre d’or de fin d’année. Rien de plus qu’une photo un peu floue avec son nom en lettres d’or comme seule annotation et une photo de son équipe. Nerd peinant à se mélanger aux foules, le Benoist n’avait rien d’un garçon populaire même si tout le monde le connaissait au moins de nom. Paumé passant son temps libre à se défoncer à la marijuana, quand il n’avait pas la tête dans les bouquins, ou les pieds sur le parquet, il était courant de le retrouver à fumer dans les toilettes du lycée. Sale habitude qu’il traina avec lui jusqu’à l’université, jusqu’à l’épidémie. Le renversement de l’ordre du monde lui arrachant sa seule issue de secours pour aller chercher l’essence de ces rêves qui n’avaient de cesse de le consumer.  (006), Garçon mal adapté par le passé, rien n’a changé pour Leo. Toujours le nez fourré dans les livres ou à gribouiller les designs étriqués des fabrications de son imagination, ce dernier n’a pas tant changé. Malheureusement pour lui, ce n’est pas une époque pour les rêveurs. Le brun souffrant les horreurs qu’il est contraint de voir jours après jours  depuis que lui a été imposé le rôle de nettoyeur. Ce rôle lui fut imposé comme punition lorsque son père ne sut pas tenir sa langue pour la énième fois. Dégouté par l’ordre mis en place par le Conseil, ce n’est que récemment que le Benoist a décidé de s’élever contre ceux-ci. Rébellion incertaine, il se contente de dessiner à mêmes les murs des coins sombres des messages de rage, des messages de paix, usant aussi bien l’anglais que le français. Vandale au cœur frémissant, ses intentions sont bonnes, mais ses manières peu efficaces.  (007), Ancien étudiant en ingénierie mécanique, même s’il ne suivait pas les cours assidument, Leo arriva à passer en deuxième année avant que la fin du monde ne sonne. Extrêmement débrouillard, même si son intelligence vive est apprécié pour faciliter les nettoyages, ce dernier serait mieux armé pour travailler à la rénovation et à la création d’outils pour aider Lafayette à subsister. Dans un carnet qu’il protège comme s’il s’agissait de la prunelle de ses yeux, le jeune homme développe ses idées à même le papier vieilli. De pages en pages se retrouvent ses pensées entrelacées autour des machines aux fonctions diverses, autour des croquis à peine étalés de songe que le brun ne se laisse même plus le droit d’imaginer.  (008), Parfait bilingue, Leo maîtrise aussi bien la langue de Shakespeare que celle de Rimbaud. Il s’agit là d’un souhait de son paternel, voir une coutume chez les Benoist. Dans le foyer familial seul le français résonnait entre les murs décatis de la bâtisse, un jeune Leo rêvant en noir et blanc une langue française dans laquelle il arrivait à s’exprimer. Pourtant, ce dernier ne parle pas la langue des mots. Il parle la langue des pensées. Piètre orateur, ce dernier a souvent l’impression de perdre tout sens une fois les mots écorchant ses lèvres. Peu importe la langue, il a toujours été fait pour parler en pensées. (009), Le Benoist ne sait pas comment faire autrement que vivre au jour le jour. Oppressé du fait de son nom, ses origines, ce dernier redoute l’instant où la Milice viendra le chercher pour le jeter en dehors des fortifications. Leo n’a rien d’un aventurier. Gamin, il rêvait d’histoire rocambolesque à vivre, du sang et des tripes par lesquelles se transcender, trouver un but dépassant la route étriquée de sa destinée. Pourtant il tremble, Leo. Il a peur, Leo. Il lui arrive d’étouffer ses sanglots lorsqu’il revoit les âmes en peine trainé leur carcasse décomposée. Il crève de trouille à l’idée de devenir l’un des leurs. Mort en devenir, rêveur prisonnier d’un cauchemar, il attend que le capharnaüm sous son crâne cesse et qu’on le ramène à la réalité. Pourtant, ça fait deux ans qu’il tremble. Deux ans qu’il fulmine de ne pas être un de ces gars sans émotions capables de défoncer le crâne de ces monstres de malheur sans une once de regret. Il aimerait s’arracher ce cœur qui n’a de cesse de battre et se sentir engourdi. Ressentir n’importe quoi. Tout sauf cette peur l’enlaçant une fois la nuit venue. (010), Une des choses qui manque le plus à Leo est la musique. C’est de pouvoir s’allonger à même le sol de son ancienne chambre dans son ancienne maison, un joint entre les lèvres en écoutant de la musique. Rien de plus que le silence dans ses pensées et les ondes secouant ses tympans au point qu’il en oublie tout le reste. Créature étrange, unique rémanence d’une race de penseur s’étant éteints des générations plus tôt, le Benoist fait partie de ces gens au bruit incessant entre les oreilles. Luttant contre ces voix dans le fond de sa tête, ses ruminations tournant en boucle comme un disque rayé, il lui manque le temps où il pouvait les faire taire à coup d’herbe et de musique.
we are the walking dead.
lafayette, louisiane, qu'en pense votre personnage ?

Même s’il est né sur d’autres terres, Leo a toujours considéré cette ville comme son foyer. C’est à Lafayette qu’il se cassa le bras pour la première fois en tombant de son skateboard. C’est à Lafayette qu’il vécut sa première histoire d’amour à sens unique, Lena bien trop indépendante du haut de ses huit ans que pour être intéressé par le looser du fond de la cours. C’est à Lafayette qu’il crut pouvoir éviter l’horreur se propageant depuis octobre 2015. C’est aussi à Lafayette qu’il vit son monde se rétrécir pour ne plus englober que cette ville aux frontières de son quartier fortifié. Encore naïf, il croyait pouvoir alors dépasser les règles imposées par les militaires, son skateboard dans une main et ses rêves d’ailleurs plein la tête. Peut-être aurait-il dû prendre cette année sabbatique afin de voyager autour du monde. Y avait-il encore un monde autour duquel voyager ? De plus en plus oppressé par ce confinement imposé, si son père ne l’avait pas retenu Leo aurait été voir les survivants se révolter et se faire abattre. Depuis, bien qu’il se soit efforcé de rester entre les lignes, sa famille ne fit pas profil bas contrairement à lui. Seconde nature familiale, leur langue maternelle n’était pas appréciée par les miliciens incapables de comprendre leurs échanges parfois moqueurs. Tant et si bien que l’interdiction s’abattit sur eux tel un couperet. Lorsque le français leur fut interdit, les Benoist ne se soulevèrent pas pour faire front. Non, ils semblèrent se calmer, courber l’échine alors que pourtant grondait en eux les chants de liberté d’une nation refusant l’oppression. Trop jeune, trop égo-centré, Leo ne pensait rien de cette interdiction. Jusqu’au jour où il se fit tabasser par des miliciens zélés, le malheureux s’étant involontairement exprimé dans la langue de ses songes. Bien que les bleus se soient effacés,  le jeune homme garde à la jambe droite une raideur et au cœur l’amertume d’une révolte croissant en ses poumons. En signe de rétribution pour ses actes, une fois guéri, le gamin passa de son rôle de réparateur à celui de nettoyeur. Les autorités s’amusant d’envoyer un des Benoist au front pour leur montrer leur pouvoir. .


dirge amandine.
ft. alex hogh andersen personnage prédéfinis; famille Benoist, seconde branche.

âge : 22 ans. fuseau horaire : Je viens du pays de la bière et du chocolat, donc le même fuseau horaire que les français.  :creep:  fréquence de connexion : Ca dépend énormément de la fac. Certaines semaines je me la coule douce, certaines semaines je peux à peine dormir.  :gaa:  où avez vous connu le forum : Bazz' avis & suggestions : J'arrête pas de penser à ce fichu forum depuis que la pub est tombée sur Bazz et j'ai un chapitre de mémoire à finir et je vais décéder à cause de la pression, donc j'ai craqué  :fire:  votre mot de la fin : écrire ici.


Dernière édition par Leo Benoist le Mer 29 Mar - 11:09, édité 7 fois
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyVen 24 Fév - 20:58

These scars, I tell myself, are learned.
We just want to be less of ourselves, like two dopey teenagers, strung out on a lack of oxygen,
with brains the doctors like to photograph, we dance in the living room and say
we are chained, bound at the wrists by stars.

I want to be a professional at taking pictures of the sky as if it’ll someday disappear because nobody can promise me that it won’t.

Tout paraissait plus léger au Benoist après un ou deux joints. A croire qu’il pouvait diminuer le volume du monde lorsque la drogue emplissait ses neurones d’une fumée arrivant à troubler le cours de ses pensées. Allongé à même le carré d’herbe, servant de jardin à son père et lui, il observait le ciel avec la ferveur religieuse d’un dévot. Le ciel bleu trahissait mal les jours fuyant d’un été refusant de s’éteindre. Il en avait de la mélancolie plein les doigts le Benoist. Il en avait de la nostalgie qui  coulait de ses yeux portant le firmament. De l’autre côté d’un grillage usé par les années, le monde l’attendait. Il avait les essais de pré-saison à préparer dans l’espoir de pouvoir intégrer le cinq de base de l’équipe de basket-ball de son lycée. Il avait des cours à réviser pour que sa moyenne et ses qualités sur le terrain le mène à l’université. Il lui fallait aussi pensé à l’argent qu’il lui faudrait trouver pour boucler la fin du mois. Pourtant, allongé-là, un artiste inconnu faisant le silence dans ses pensées, il se contentait de regarder le ciel. Il se contentait d’imaginer les étoiles qui finiraient par percer le crépuscule pour venir s’imprimer sur ses rétines. Il s’imaginait retracer les constellations de ses rêves, peindre une louve à la place de la grande ours, dessiner une danseuse à la place d’Andromeda. Il s’imaginait prince de ce royaume dans les étoiles. Il s’imaginait fils des étoiles, dépositaire d’une voie lactée brillant en ses veines. S’il n’avait pas de mère, la lune serait sa génitrice. Sortant son paquet de cigarette de la poche droite de son pantalon, il s’en alluma une avant qu’une ombre ne vienne assombrir les cieux. « Je croyais qu’on avait cours ? » Retirant un de ses écouteurs, les yeux se posant sur la silhouette de Mattie, un sourire paresseux étira ses lèvres. « What did you say ? » Dans un soupire faussement ennuyé, l’adolescente s’assit à côté de Leo alors que ce dernier l’observait avec trop de soin. « Were you or were you not supposed to teach me french today ? » « I don’t think so. Was I supposed to teach you french today? » Levant les yeux au ciel, l’adolescente ne semblait pas véritablement ennuyée par cet oubli de la part de Leo. « I should not even be surprised to see that you forgot, you seem to smoke weed all the time these days. » Inhalant une longue taffe sur sa cigarette, le Benoist haussa les épaules avant de tender l’écouteur qu’il venait de retirer de son oreille à Mattie. Sans un mot, l’adolescente s’allongea à côté du brun, ses jambes dans la direction opposée, leurs visages en parallèle. Dans un silence plein de toutes ces choses que le brun ne saurait jamais dire, les deux adolescentes observaient l’arrivée d’un nouveau crépuscule. Au plus profond de sa mémoire, il gravait le souvenir de son cœur battant la chamade alors que Mattie observait l’émergence des étoiles à ses côtés. La nuit tombait et ne Leo savait qui des étoiles ou de la jeune femme à ses côtés était le plus aveuglant. De ces deux visions, pourtant, il n’y avait que Mattie pour faire battre la chamade à son cœur. Et il n’y avait qu’un fou pour lancer ses souhaits vers les étoiles, s’éprenant d’un firmament qu’il ne pourra jamais embraser de ses doigts. Il n’y avait que le renégat de l’école, le marginale méprisé auquel personne ne s’intéressait, pour s’éprendre d’une supernova vouée à le consumer. « Si tu n’avais pas besoin de cours de français on ne se parlerait même pas, n’est-ce pas ? » Les yeux perdus dans la contemplation du clair-obscur noué autour des traits de la belle, ses prunelles sans fonds l’invitaient à l’abandon. « You know how bad I’m in french, what did you say ? » L’ébauche d’un rire coincé au fond de la gorge, l’adolescente souriait autant avec ses yeux qu’avec ses lèvres. Le cœur engourdi par cette vision d’éternel, il détourna les yeux du feu de sa destruction quelques instants plus tard, les rétines déjà à jamais marquée par cette image tatouée à l’envers de ses prunelles. « Do you think we could see each other tomorrow afternoon for that lesson ? » Et dans une autre vie pour ce cœur éperdu d’une autre réalité?


And the stars, do they suffer as we do? Are they such fragile cruel things? Or are they kinder in their survival?

Une seconde les mots dépassaient la barrière de ses lèvres, une seconde plus tard l’air se retrouvait expulsé de ses poumons. Surpris par la virulence du coup, fauché par la crosse de l’arme avant d’avoir pu comprendre ce qu’il avait fait de mal. Du haut de ses vingt et un ans il était bien ingénu le gamin. Il était bien trop doux que pour serrer les poings et leur rentrer dedans, les cogner au point de s’en user l’envers des phalanges. Il était trop doux que pour imaginer la violence d’un monde gouverné par une peur ayant glacé son échine. Les mots lui avaient échappés, sans qu’il ne s’en rende compte, sans même qu’il ne puisse noter la différence de leur poids sur sa langue. Une seconde il parlait l’anglais, l’instant d’après il se retrouvait projeté au sol par la surprise du choc. Haletant pour retrouver un souffle qui l’avait abandonné, il commençait à ramper lorsque le second coup le faucha au centre de son torse. La douleur enflamma ses bronches alors que la zone touchée vrillait ses neurones nociceptifs de ses gémissements. « What the fuck did I do ? » Le Benoist avait appris qu’il ne servait à rien de nier la faute. Il en avait vu des gens se soulever contre la milice. Il avait vu ces pauvres fous se faire souffler par le vent tel des navires emportés par la marée. S’il était naïf, Leo n’avait rien d’un con. Malgré tout, ça lui rongeait les lèvres de devoir plaider coupable alors qu’il n’avait rien fait de mal. « French is prohibited inside of Lafayette. So, what is your excuse? » Serrant les dents, lorsque la main du milicien s’abattit sur sa jambe, le trainant en arrière sans la moindre douceur, il savait ne rien pouvoir faire. De ses prunelles délavées, le jeune homme contempla le milicien de tout son mépris avant que ce dernier ne cède face à cet affront.  Ses phalanges s’usèrent à peine sur la mâchoire du brun, gravant à même sa chair un ciel violacé. Le long de ses côtes, les hommes de l’ordre tatouèrent des constellations entières d’un noir encre sans pareille. Ses bras entourant sa tête, les dents serrés, il ne savait plus dire d’où la douleur s’échappait. De quelle chair tuméfié il semblait le plus souffrir. Son corps était un nerf à vif, ses côtes peinait à conserver l’écume d’une marée menaçant de noyer ses prunelles. Le bruit sous son crâne était assourdissant, rappel étourdissant d’un chaos faisant rage en ses veines. Il se demandait si un de ces orangs-outans ne l’avait pas sévèrement touché au crâne. Se dissolvant au gré d’une brise n’existant pas ailleurs qu’en sa tête, ses pensées s’évaporaient sans qu’il n’en perçoive le fil. Le cri déchirant l’assemblé arriva néanmoins à l’arracher à cette léthargie sans nom. Qui de lui ou des autres venait de crier à s’en déchirer les cordes vocal ?  « French scum, can’t even take a hit ? » Abandonné là, sans un mot, sans un bruit. Personne n’osa bouger alors que les miliciens abandonnaient le gamin à mêmes les pavés. Le gamin même ne savait pas ce qui restait à sauver.


your voice is the loudest shout at the head of the picket line. your voice is all war and they love you for it. your voice is breaking, but it is holy.

Le cœur coincé au plus profond de la gorge, un bandana noir camouflant la moitié de son visage, c’est les mains moites qu’il s’approchait du mur qu’il avait repéré plus tôt dans la journée. Rien de plus qu’une craie dans la poche, une arme à elle seule, le Benoist ne pouvait enrailler le fleuve qu’était ses pensées. Un pied toujours coincé en arrière, le regard pourtant résolument tourné vers l’avant, l’obscurité était un linceul que le jeune homme portait avec une aisance particulière. Longeant les murs, le cœur en nage au moindre bruit, il tremblait d’effroi face à sa propre stupidité. Pourtant, face au canevas qu’il avait longuement observé le matin même, il ne pouvait plus faire marche arrière. Leo n’avait rien de ces combattants aux idéaux trop grands que pour être sauvés. Il n’avait rien de ces héros mourant pour une cause les dépassant. Il peinait à porter ses maigres revendications à même ses épaules. Il peinait à mettre un pied devant l’autre pour faire face à l’échafaud de ses idéaux dilapidés. Même s’il n’était déjà plus un enfant lorsque l’épidémie avait frappé, cette dernière avait arraché au brun tout sens de normalité. Toute envie de se battre pour autre chose qu’une survie incolore et sans saveur. La douleur dans sa jambe droite était le rappel douloureux d’une liberté factice. D’une sécurité prostituée. Un soupire coincé entre les lèvres, c’était sur le qui-vive qu’il fit son office. La craie écorchait la surface bétonnée du bâtiment alors qu’il ancré les lettres d’un message à la simplicité affolante. « Fuck the Milicia. »  L’écho des pas des sentinelles alerta le Benoist avant que ceux-ci ne l’attrape en plein crime. Le couvre-feu était largement dépassé et, à cette heure, ne restait que quelqu’un milicien surveillant leur périmètre avec plus ou moins de zèle. Enfant de cette ville,  bien que moins accoutumé au quartier, Leo avait appris à en connaître chaque recoin. Le cœur battant la chamade, ses pas chaloupés le trainaient vers l’avant alors qu’il fuyait aussi bien ses peurs que l’oppression d’une autorité qu’il répugnait. Alors, si son cœur continua à battre la chamade lorsqu’il retrouva la chaleur de son lit, pour une fois ce ne fut pas à cause des tourments l’empêchant de dormir. Pour une fois, l’excitation lui rongeait les entrailles à l’idée des réactions que sa révolte silencieuse engendrerait. Peut-être était-ce risible, aussi risible que de lutter contre Goliath à coup de lance cailloux. Toutefois, la commotion provoqué par son aventure nocturne lui arracha un frisson doucereux que le brun souhaitait encore éprouver.

boy who screams anarchy from the roofs of police cars. boy born for revolution. boy, the world is yours. all you have to do is burn.

Il arrive un temps où la survie ne laisse place à rien d’autre qu’à la survie. Un jour la crainte ne cache rien de plus que de la crainte et tous les fanaux dressés biens hauts s’éteignent avec les espoirs de leurs propriétaires. Leo était naïf, la tête trop souvent coincée dans les nuages. Son tibia le faisait encore souffrir suite à sa mise à tabac par la milice, même des mois plus tard. Les mots lui brulaient toujours la langue lorsqu’il les pensait en français. Ne lui restait au cœur que le dégoût de la seule langue lui ayant jamais offert de s’exprimer parfaitement. Ne lui restait dans les entrailles que la peur d’un autre milicien zélé prêt à lui arracher son sourire de frenchie. Les doigts noirs à cause du charbon qu’il utilisait, le brun gravait ses peurs à même le papier. Il avait trouvé le bois calciné quelques jours plus tôt, conservant précieusement son trésor dans le fond de ses poches. En tête à tête avec le fond de ses pensées, son esprit divaguant au fil de ses ruminations, ses doigts traçaient les horizons désaimés d’un ciel qu’il peinait à observer ces jours-ci. Leur clémence n’était plus, les enfants de ce ciel se déchirant alors qu’à leurs portes les morts grondaient. Ses doigts dansaient sur le papier, le charbon imbibant la feuille du sang d’autres songes et dans sa solitude le Benoist songeait à ces abandonnés par l’histoire. Son voisin de casier, disparu après s’en être allé chercher un Eldorado vers des ailleurs soi-disant meilleurs. Il pensait à Mattie qui s’était faite expulser un sourire défiant aux lèvres. Il pensait à leur jeunesse partie en fumée et à ce monde dans lequel il peinait à vivre. Il pensait aux heures le séparant de son premier travail de nettoyeur et à cette envie qu’il avait de s’ouvrir le poitrail. L’envie qu’il avait de déchirer l’étoffe du monde pour en avaler l’ichor et fumer un dernier joint avant d’être rattrapé par les monstres de ses cauchemars. Plus que tout, il voulait vivre. Autrement. Il voulait vivre et non plus survivre ce régime, souffrir cette autorité. Dans le confort de ses pensées, ces souhaits de révolution semblaient vibrant, les mots d’un leader ne demandant qu’à être encensé. Entre ses lèvres, glissant le long de sa langue, il les sentait pourtant perdre de leur superbe. Il se sentait défaillir alors qu’il lui fallait faire la transition de ses pensées à ses mots. Dans le fond, Leo était toujours le même garçon paumé. Celui-ci même qui étudiait l’ingénierie mécanique sans pour autant suivre les cours. Celui qui se retournait le crâne à fumer clopes sur clopes, joints sur joints, comblant un vide que personne ne percevait. C’était lui le gamin trop souvent la tête dans les nuages que pour faire attention à cette réalité le frôlant de trop près. Celui qui rêvait à la place de vivre. Maintenant que la mort semblait se trouver à toutes les portes, n’attendant plus son heure pour faucher les gens, c’était maintenant qu’il avait décidé de se réveiller. L’ironie était palpable. Pourtant, à l’instar de ses ancêtres français, il était prêt à faire trembler l’institution en place le gamin. Il était prêt à mettre le feu au poudre et les regarder tout bruler. Mais surtout, il était prêt à bâtir. Prêt à reconstruire autrement. Anarchiste au cœur tendre, le rêveur croyait à un pouvoir égalitaire. Il croyait en des lendemains qui chantent et à l’aube des lumières.


Dernière édition par Leo Benoist le Sam 25 Fév - 23:42, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyVen 24 Fév - 21:11

on en parle ou pas de ce choix d'avatar ????????? oui ou non ???????? abusé ou bien ???????????? OMGGGGGGGGGGGGG (groupiasse de vikings en vue) :bed: :fire: :hearteyes: :bave: BIENVENUE SUR LE FORUM :bed: que c'est bon de craquer alors qu'il te reste ton chapitre de mémoire à terminer de rédiger (fais-le maintenant et viens rp aprèèèèès, touuuuuut le week-end), je kiffe ce genre de faiblesse c'est ouf. :aw: :perv: (ps : on peut parler aussi de ce choix de famille ????????? vive les benoist :creep: ) bon courage pour cette fiche bégé, n'hésite pas en cas de question et si t'as la moindre remarque ou suggestion à faire afin d'améliorer le forum, va voir dans ce sujet c'est là où ça se passe. :red:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyVen 24 Fév - 21:15

bon courage pour ton mémoire, ugruirreig :mdr:
bienvenuuuuuuue :brille: :(oo): bonne chance pour ta fiche :creep:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyVen 24 Fév - 23:39

UN BENOIST :red: :red: :bave: :bave: :foulove: :foulove: :luv: :luv: :luv:
Bienvenue parmi nous, bonne chance pour ta fiche :calin: :calin: :calin: :love: :love: :love: :luuv: :luuv: si tu as des questions, n'hésite pas :heeart: :heeart: :heeart: :heeart: :calinou: :calinou:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 12:23

CE CHOIX D'AVATAR DE FOOOOU.  :dead:  :dead:  :dead:  :dead: fan de vikings moooode on.  Arrow  Arrow + le pseudooooo. :hearteyes: :hearteyes: ton début de fiche est tellement bon, ce personnage promet de belles choses, me tarde d'en savoir plus.  :heartie:  :heartie:  :heartie:
bienvenue parmi nous et bonne continuation pour ta fiche. :tongue: :tongue: :tongue:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 13:38

merci pour l'accueil! :oo: :red:

vous aimez Vikings, je vous aime! :bave: :calinou:

liam, c'est mal, c'est très mal de craquer. :fire: mais je sens que t'es du même genre que ma conscience, à pas du tout m'aider à faire le bon choix. :haha:
les benoist ont trop la classe! :haa: :red: je suis in love de la seconde branche de la famille (j'aime les galériens :mdr: ) et j'espère que mon petit leo correspondra bien à ce que vous avez pu imaginer pour cette famille de bégé :sombrero:

kara, merci pour le soutien, on en a jamais assez face au mémoire :luv:

absalon, :culotte: :calinou: :luv:

ace, je pense que je vais t'adopter toi et liam, on va créer un groupe de groupie pour Vikins. :fou: :sisi:
merci pour les bons mots. :calinchou: :crazylove:

ps: je vénère vos choix d'avatars :haa: (surtout bellarkeeeeeeeeeee :dead: )
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:09

super fiche :tongue: :brille: :(oo): :v: et super choix de famille omg :hola: would you like some baguettes ? :hola:

BIENVENUE PARMI NOUS :red: :hii: :lilheart: :cute: :heartie: :haa: :hearteyes: :luv:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:11

Leopold... je suis fan du prénom :hihi:
En tout cas excellent choix de famille !
Bienvenue à toi :red:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:44

excellent choix de famille et puis cet avatar, je dois pas encore être assez avancée dans vikings pour pouvoir le reconnaitre mais si je peux le voir incessamment sous peu, je vais accélérer ma vision des épisodes. :hihi: :creep: :siffle:
bienvenue parmi nous et bon courage pour ce qui te reste de ta fiche. I love you :cute:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:48

patty :mdr: tu viens de me tuer avec ta phrase.
i'd love some baguettes :perv:

james, il n'y a aucun prénom plus classe que celui du premier roi des belges :sombrero: :haha:

ellie, oh oui! dépêche toi, le personnage est génial en plus. :red: :mwhaha: (comment ça se fait que tu sois en retard, diantre! :fire: )

Merci pour l'accueil à vous trois. :lov: :oo:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:50

tu me teases tu me teases. :gaa:  :gaa: malheureusement mon problème c'est que je commence une série, puis une autre, et encore une autre, du coup j'oublie de regarder la première que j'ai commencé, puis la deuxième, etc. :mdr: il faut que je me fasse un planning, ça ne va plus du tout. What a Face mais bon, je vais me dépêcher de rattraper tout ça. :creep: #racontagedelife
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:55

Leo Benoist a écrit:
james, il n'y a aucun prénom plus classe que celui du premier roi des belges :sombrero: :haha:
*s'incline* Si tu le dis :hihi:

En tout cas, ta plume... mais ta plume :baave:
Et ce personnage ! J'adore :cute:
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptySam 25 Fév - 23:57

ellie, si t'as besoin d'un planning ==> betaseries is your friend.
je dis ça je dis rien :ange:

james en tant que belge, je me dois de défendre l'honneur de mes rois (ou pas :hihi: ) :siffle:
c'est trop gentil. :(oo):
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyDim 26 Fév - 12:06



validation, validation
t'es beau, t'es charmant, tu m'as l'air sincère
Hohoho, tu viens d'être validé(e) jeune sauterelle des îles, mais avant de passer aux hostilités, laisse-moi te dire une chose ou deux : la révolution française est en marche :gaa: va falloir faire contruire une guillotine à Lafayette :hola: .

Maintenant, laisse-nous t'abreuver avec ce tumblr de folie où tu retrouveras des gifs très très drôles (attention aux spoilers). Si ce n'est pas déjà fait, va jeter un coup d'oeil dans le bottin des avatars afin de vérifier si on ne t'a pas oublié au passage, puis tu pourras aller recenser ton rôle et ton habitation si ton personnage vit à Lafayette. Et pour que ton intégration se passe bien, va te créer une fiche de liens et, si l'envie t'en prend, une chronologie. Tu vas pouvoir également te renseigner sur la gestion de tes points et participer à un rp mission. Si tu veux, tu peux aussi aller créer un scénario ou des pré-liens afin d'aider de futurs intéressés dans la construction de leur personnage. Mais puisqu'un forum est là aussi pour te distraire un max, viens nous rejoindre dans le merveilleux flood et supporte-nous dans la promotion du forum (on te le rendra bien, avec un max de bisous et de love).

voilà, maintenant que tu es validé(e), tu peux venir faire la fête avec nous et n'oublie pas que les admins sont à ta disposition 24h/24 (et même 38h/24 si des offrandes sont faites). amuse-toi bien parmi nous.
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MessageSujet: Re: boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo)   boy with gunsmoke for breath. boy with rebellion in your bones (leo) EmptyDim 26 Fév - 12:12

:mdr: :mdr:
Leo aidera à créer les plans pour la guillotine. :creep:

Merci pour la validation! :cloud: :calinou: :sombrero:
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